Le pianiste Pierre-André Doucet [a donné] une performance à couper le souffle du Liebestod, extrait de l'opéra Tristan et Iseult de Wagner et dans un arrangement de Liszt. L'émotion de son jeu et son contrôle impeccable ont envouté le public. S'ensuivit la Piano Sonata No. 1 (1990) du compositeur australien Carl Vine. La maîtrise de Doucet y fut, encore une fois, superbe.
Anthony Kershaw, Audiophilia
Pierre-André Doucet est un pianiste doué, issu d'une lignée romantique et vigoureuse. Ses performances de Liszt furent impressionnantes.
Michael Green, Artsmart
Pierre-André Doucet a une plume remarquable. Sa prose est à la fois syncopée et mélodieuse, son phrasé est net, son lyrisme désenchanté.
Sébastien Lavoie, Lettres québécoises
À lire absolument. [...] Le plus beau dans tout ça, c'est que ce n'est ni un roman, ni un récit, ni une autofiction - pas de nouvelles non plus - plutôt des fugues bien brèves et bien braves.
Catherine Parayre, Voix plurielles
Les textes en chiac se révèlent particulièrement fascinants : une musicalité envoûtante semble, en effet, en émerger. [...] Le tout dégage un immense parfum de modernité - la langue, les thèmes, les images évoquées - mâtiné d'un lyrisme à fleur de peau. Sans aucun doute, l'une des très belles surprises de l'automne.
Benoit Migneault, Fugues
Par le truchement de personnages colorés, souvent masculins, Doucet explore l'amour, le voyage, la vie et la mort : tout cela dans une langue rythmée, voire musicale, attachante, teintée d'humour, lyrique, parfois même timide. [...] [I]l apporte de nouvelles images sur les beautés et les difficultés de la vie dans une langue qui « saran wrapp[e] » (p. 86) le cœur du lecteur, une langue qui ne lui donne le choix que de se « parallel parker » (p. 25) entre ce recueil et un fauteuil, entre ce recueil et un endroit agréable dans un autobus, un avion, un bateau…
Véronique Sylvain, Liaison
Rien n’est de trop. On dirait une partition de musique.
David Lonergan, Acadie Nouvelle